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Album Photo : http://picasaweb.google.fr/matstacz
Mes opinions ne sont pas les vôtres ! Ne vous basez pas que sur mon expérience, offrez vous un voyage et ayez vos propres appréciations du Japon !


Vous trouverez aussi un rapide résumé sur ce blog : http://passion-litchi.skyrock.com/

Bonne lecture =D

mardi 18 mars 2008

14ème jour - KYOTO



Kinkakuji, dit aussi le Pavillon d'or. Je ne le trouve pas super super, mise à part qu'il est couleur d'or... il est tout petit et on dirait un peu un jouet; les fenetres on l'air fausse, etc... en plus le parcours est si petit qu'en 5 minute marche normal tout les parcours est fini. Encore heureux que le prix n'est pas excessif.

Sinon le domaine de Taizoin (je ne sait pas vraiment c'est quoi le nom de ce village dans la ville), c'est ultra silencieux !! vous vérez sur les photos plein de maison facon traditionnel, c'est là! à environ 5 km au sud du Kinkakuji.

Et l'après midi je suis parti a Arashiyama, où j'ai croisé un petit groupe de Maiko, apprentie Geisha. Je suis passé par un chemin plein de bambou partout, puis finalement atterris nez-à-nez avec une photo de Jean Réno ! Woaaaa mon acteur préféré!!


C'est marrant mais de temps en temps je vois des grands mère en scooter :D ma foie elles ont raisons, le système des bus est vraiment mal foutu. Je ne sait plus où j'ai vus que les Bus au japon sont rarement en retard, personnellement aucun que je n'ai pris était à l'heure ! ça variais du plus ou moins 15 minutes.
Et dans mon cas je suis tombé sur un conducteur extrêmement con ! désolé de le dire, mais j'ai un One-day pass que je peu utiliser sur tout le réseau, et cet imbécile voulais pas me laisser sortir juste parce que j'avais oublié de charger la carte à l'entrée du bus, donc erroné à là sorti, il ma donc fait payer le prix fort, celui qui correspond au trajet le plus long... ça sent celui qui n'aime pas les occidentaux! Je m'étais déjà trompé avant mais les conducteurs s'en fichais et me laissais partir du moment que la carte était d'aujourd'hui, et comme ils disais "ok!", je voyais jamais où était mon erreur.